Quand j'étais adolescente et que je partais en colonie de vacances, ça me rendait très heureuse de quitter ma mère pendant un mois.

Un collègue américain m'a proposé de préparer le CAPES ensemble l'année prochaine. C'est une très bonne idée, je me suis sentie heureuse qu'il me propose ça. Surtout que c'est une personne que j'admire.

Je suis contente de retourner à l'école retrouver mes étudiants et mon travail.

Je suis contente parce que j'ai de bons rapports avec mes étudiants et c'est très important pour moi.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'écouter des enfants de moins de 6 ans parler entre eux. Le contenu de leurs échanges est souvent très mignon car ils copient souvent les mots de leurs parents.

J'ai fait 40 minutes de vélo d'appart, donc je me sentais en forme.

Quand je suis allée au Brésil avec mon ancien partenaire, et que nous sommes allés sur une superbe île. L'eau y était juste incroyable, bleu-vert, transparente et les plages étaient désertes. Un vrai paradis. Etre sur ce lieu était irréel.

Ce qui me rend heureuse, c'est de continuer avec mon travail que j'ai effectué dans les béguinages de Mons en Baroeul, résidence les Bruyères, où j'ai de très bons souvenirs, une très bonne entente entre collègues, de gentils résidents, malheureusement tous décédés maintenant, il en reste 4 de mon temps. Je les revois de temps en temps, ça me fait plaisir. Mon mari et moi nous habitons une résidence foyer-logements de Mons en Baroeul, nous y sommes très bien, nous participons aux fêtes et aux jeux. Cela est encore un bon moment de notre vie, nous avons une vieillesse heureuse, car nous sommes à deux, grand cadeau de la vie, nous l'apprécions.

Réaliser que le bonheur est lié entre autres choses, à sa facon de voir les choses, de prendre les choses, d'attitudes, me fait également réaliser que moi aussi, je peux accéder au bonheur.

J'étais contente lorsqu'un ami m'a appelée aujourd'hui dans la soirée. Il m'a annoncé une mauvaise nouvelle le concernant, mais je suis contente parce qu'en fait on se connait depuis peu, mais il m'a révélé que j'étais la première personne qu'il avait appelée quand il a obtenu un travail et je suis la première personne qu'il a appelée lorsqu'il a perdu son travail et c'est aujourd'hui. Il a donc une certaine confiance en moi où il y a quelque chose chez moi qui fait qu'il se sent bien pour me dire les choses. Dans tous les cas, ça me fait plaisir. J'ai été compatissante et il se sentait mieux quand il a raccroché.

Je suis allée à mon cours du soir de bonne humeur, prête à faire un bon cours, un cours animé.

Je me suis levée de bonne humeur.

J'ai donné un cours en entreprise à un client que j'aime bien.

J'ai eu un cours avec une classe où très peu d'étudiants étaient présents, du coup, nous n'avons pas fait grand chose, et l'heure est passée agréablement.

Voir un couple entre 50 et 60 ans qui a l'air de s'aimer ou de toujours s'aimer. Le voir à travers les gestes de tendresses et attentionnés qu'ils ont l'un envers l'autre.

J'étais contente car il faisait moche dehors, il pleuvait. Il faisait un temps à rester chez soi, mais comme j'étais en train de partager un repas avec des gens que j'aime bien, le temps n'avait pas d'importance.

Je me suis levée de bonne humeur et j'ai écouté de la musique, ce qui n'a fait que renforcer mon état.

J'ai mangé des carottes rapées et des haricots verts et j'étais heureuse.

J'ai été donné un cours et en marchant je me suis rendu compte que je me sentais légère car j'avais moins de douleurs au corps suite à mon opération. Je me sentais gaie.

Faire du jogging le week-end avec ma jeune voisine, autour du canal de l'Ourcq est un bonheur. On discute pendant 10 minutes et ensuite à cause de l'effort, on ne parle plus jusqu'à la fin de notre jogging.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est de donner la vie...

Je me sentais contente d'avoir vu des gens, d'avoir organisé quelque chose car ces derniers temps je suis tout le temps fatiguée, et je passe beaucoup de temps seule chez moi le soir et les week-ends.

J'avais demandé à des enfants du Nicaragua dont je m'occupais de corriger mon espagnol, en particulier à un petit de 10 ans que j'adorais. Et très serieusement, à chaque fois que je ne prononçais pas quelque chose correctement, il me corrigeait. J'étais émerveillée par l'attitude de ce petit qui prenait son rôle tant à coeur.

Si mes enfants sont heureux, je suis heureuse ! Leur bonheur est ce que je souhaite le plus en ce monde, ce bonheur fait de petits riens que l'on doit apprécier, le pouvoir de s'émerveiller encore malgré les années qui passent.

Je suis allée au cinéma et le film que j'ai vu "Detachment" m'a beaucoup plu. L'acteur, le sujet, comment ça été traité. En sortant de ce film dramatique et plein d'humanité, je me suis sentie très satisfaite et aussi très pensive.

Aider les gens perdus dans le métro ou dans la rue, ou touristes ne parlant pas francais. Faire un compliment à une personne que je ne connais pas.

Quand j'avais un partenaire et qu'on allait au marché le matin.

Je me sens heureuse quand mes étudiants montrent de l'intérêt pour mes cours.

J'apprécie le calme de mon appartement. Je n'entends absolument personne, un vrai plaisir.

Quand il y a du soleil le matin quand je me lève.

Le fait d'avoir la possibilité de m'allonger après mon repas pour digérer tranquillement. Je me suis sentie heureuse de voir que je pouvais et savais prendre mon temps.

Lorsqu'une personne me sourit alors qu'on ne se connait pas, ça me rend heureuse.

J'étais heureuse quand ma mère était de bonne humeur, quand j'étais jeune. C'est-à-dire, âgée de moins de 14 ans.

Ce soir je donne un cours aux adultes et je suis contente car j'ai bien préparé mon cours, mes activités. J'ai pris du temps.

J'ai rencontré des voisines de mon immeubles. Deux jeunes filles très naturelles et très sympathiques et cela m'a fait plaisir.

Allongée sur un relax dans le jardin dans les bras de celui que j'aime, le bruit apaisant d'une fontaine, le chant mélodieux des oiseaux et celui du vent léger dans les feuilles, que demander de plus à la vie ?

Rien que l'idée de manger le poulet que j'allais aller chercher au marché m'a rendue heureuse.

Quand j'étais jeune j'avais l'habitude de passer beaucoup de temps devant la fenêtre et à imaginer quelle pouvait bien être la destination des avions que je voyais. Ça me rendait heureuse car ça me permettait d'échapper à ma réalité.

Je suis heureuse de constater que maintenant je n'ai plus besoin de m'échapper de ma réalite même si parfois j'aimerais qu'elle soit différente.

En rentrant chez moi, après la crémaillère, nous étions trois à marcher ensemble vers le métro, lorsque tout à coup, nous sommes passés devant un SDF allongé sur son matelas, avec les yeux ouverts. J'ai immédiatement pensé à lui proposer un peu de nourriture que j'avais gardé pour mes voisines. Il a accepté avec un sourire lorsque je lui ai proposé et dès qu'il a eu la nourriture en sa possession, il s'est jeté dessus comme s'il n'avait pas mangé depuis lontemps. Pour moi, le moment de bonheur, c'est quand il a accepté mon offre en me regardant avec de grands yeux écarquillés et un sourire. (Ça l'a rendu humain un instant.... un court instant) Ça m'a touchée.

Quand j'étais jeune, j'étais heureuse quand ma mère nous annonçait qu'elle allait sortir le soir, et que donc ma soeur et moi passerions la soirée seules.

Je suis heureuse quand je réalise que je ne manque de rien.

J'ai cuisiné avec l'idée de faire plaisir à mes 3 invités.

J'ai passé un bon moment avec mes étudiants, on a bien ri.

Ce matin, je me suis levée de bonheur et j'ai pris tout mon temps pour me préparer et savourer mon café.

Lorsque j'ai des nouveaux clients en entreprise, je me sens heureuse car ils sont tous différents les uns des autres et je dois continuellement m'adapter. C'est un peu comme une surprise à chaque fois.

Je suis heureuse à l'idée que je vais lire mon roman, un livre que je viens de commencer.

J'ai pris un kir avec une copine dans un cafe, en discutant.

J'ai aimé préparer mes cours en toute sérénité après le départ de mes invités.

Pendant des années, c'était un vrai bonheur de manger de la bonne baguette chaude avec du beurre.

Ce qui me rend heureuse, c'est qu'ici (maison de retraite) tout va bien, il y a une bonne ambiance et un bon personnel.

J'étais juste contente du déroulement de ma journée.

Le combat médical vers la guérison...

Je suis allée au marché comme d'habitude, mais c'est toujours un plaisir.

Ce qui me rend heureuse, ce sont ces petits moments de vie... quand je suis avec ma famille.

J'ai pensé à mes étudiants au lycée qui commencent à chanter des refrains anglais lorsqu'en parlant j'utilise un mot qu'ils ont entendu dans une chanson. Ça m'a fait sourire.

J'ai rencontré ma soeur que je vois une fois par an. J'appréhendais car nous ne nous entendons pas très bien, mais en fait ça s'est très bien passé et nous nous sommes quittées en bon terme.

Ce matin, quand j'écoutais de la bonne musique à la radio.

Quand je rentre dans un magasin dans l'intention d'acheter, et que finalement je ressors sans rien, je me sens satisfaite, parce que je n'ai pas été tentée !

Manger du lapin à Noël quand j'habitais encore avec ma mère. Le lapin était ma viande préférée et c'est seulement à Noël quand ma mère en préparait.

Quand j'habitais au Nicaragua, juste un mois en tant que bénévole, je m'occupais d'enfants pauvres après l'école et c'était un vrai bonheur de les retrouver tous les jours. Je les trouvais attendrissants.

Aujourd'hui, j'ai pris la décision de commencer à manger sainement et la simple prise de décision m'a rendue heureuse.

Le premier jour qu'on m'a présentée aux enfants dont j'allais m'occuper, au Nicaragua, ils avaient peur de moi et me regardaient comme si j'étais une bête curieuse, car ils n'avaient pas l'habitude de voir des noirs. Mais comme je leur souriais, ils ont commencé a me sourire aussi, puis à rire, puis à vouloir jouer avec moi. Ils étaient adorables.

Il a fait beau toute la journée, c'était un plaisir d'être dehors.

Dans le passé avec mon partenaire, pour se faire plaisir on allait se chercher des kebabs. C'était bien gras mais délicieux. Ça me rendait heureuse de céder à ces petites tentations.

Je suis rentrée chez moi de bonne humeur bien que fatiguée.

Parler à mes élèves français de mes expériences avec mes élèves anglais me rend très heureuse car j'aimais mes jeunes élèves anglais. J'ai plein de bons souvenirs.

J'avais pour but d'organiser un peu mes cours et je l'ai fait.

Il faisait bon, du coup j'ai pu m'habiller plus léger que d'habitude, et ça fait du bien de laisser le manteau à la maison.

Quand j'étais jeune, j'étais heureuse d'être à l'école. C'est là que je m'épanouissais, avec mes amis.

Le moment où j'ai obtenu mon studio actuel. J'étais aux anges car je n'y croyais pas et je le voulais vraiment ce studio.

Quand parfois je pense à ce que j'ai fait dans ma vie, sachant que je suis partie de rien (dans tous les sens).

J'ai accompli une tâche administrative que je repousse depuis au moins trois semaines. Je suis heureuse de l'avoir enfin faite.

J'ai recu un email d'une amie espagnol il y a environ deux jours, et ça faisait au moins un an que nous n'étions plus en contact. Elle vient à Paris en avril !

L'année dernière, j'avais un client chouette et il m'invitait à tous les coups dans un bel endroit. Les cours étaient décontractés et plaisants.

Quand j'ai commencé à garder cette petite fille qui avait 4 ans à l'époque, elle ne m'aimait pas parce que j'étais différente. Elle était blanche, française et d'une famille très aisée. Elle m'avait fait comprendre qu'elle n'aimait pas nos différences en particulier, la différence de notre couleur de peau respective. J'en avait parlé à sa mère et après les deux mois de vacances d'été, c'est elle qui réclamait que je l'embrasse pour lui dire bonjour. J'étais ravie du changement.

Lire des parties du livre "Le pouvoir du moment présent".

Ce qui me rend heureuse, c'est l'amour de mes enfants, aussi une histoire d'amour que j'ai vécue avec quelqu'un.

Me balader dans Paris.

Quand je rencontrais des voyageurs de pays différents.

Quand je me rends compte que mes problèmes ne sont pas vraiment des problèmes, ça me rend heureuse. Je relativise.

En sortant de mon dernier cours, alors que tous les étudiants étaient sortis de la classe, un étudiant est resté et m'a rappelé qu'en fait, je leur avais donné des devoirs. Je ne sais pas pourquoi ça m'a fait plaisir, mais je crois que ça m'a fait plaisir parce que ça montre que l'étudiant en question les avait fait, et qu'il aimerait qu'on les corrige. Ça montre son intérêt... je ne sais pas... mais ça m'a fait plaisir, et je lui ai répondu que ce n'était pas grave. On corrigerait les devoirs au prochain cours.

Samedi soir, j'étais heureuse d'avoir passé une journée relativement active, mais tranquille aussi.