Je suis heureuse, quand je vois le visage des gens heureux dans la rue !

Ce qui me rend heureuse, c'est que l'on me masse les cheveux.

Ce qui me rend heureuse, c’est un beau paysage...

Ce qui me rend heureux, c’est les forêts de pins !

Je suis heureuse de faire plaisir aux autres, de m'occuper des autres.

Ce qui me rend heureuse, plein de choses. Mais je dirai en priorité l'amour que m’a donné mon mari (décédé il y a deux ans) durant 11 ans. Le magnifique garçon qu'il m'a donné aussi.

Découvrir que le hamster est un animal beaucoup plus intelligent qu'on ne le pense, à condition de lui laisser la possibilité d'exprimer son potentiel. Et par conséquent, d'apprendre au mien toute une série de petits tours...

Ce qui me rend heureux, c'est de participer à la course contre la faim.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'avoir trouvé ma sérénité, enfin.

Mon homme et notre amour

Ce qui me rend heureuse, c'est quand je dévale les pentes aux sports d'hiver !

Quand je mangeais une forêt noire avec mon arrière-grand-mère.

Ce qui m’a rendue heureuse, c’est quand mon neveu et ma nièce sont super contents de me voir et qu'ils sautent partout autour de moi et quand j'ai décroché mon 1er CDI.

Ce qui rend heureuse, pour moi c'est déjà d'être en bonne santé ainsi que ma famille !

Ce qui me rend heureux, c'est le sourire de mes enfants, de ma famille en général.

Un moment avec mes filles en train de faire les gugusses !

Recevoir un mail de Pietro, le charmant serveur Suisse du Festival de la Cité de Lausanne, avec qui j'aurais tenté plus de choses si j'avais été moins timide...

Mon fils m’a dit : "Maman t'es belle", ça donne du peps pour toute la journée !!!

Quand je suis amoureuse, et que j'ai un copain avec qui ça se passe vraiment bien, je suis heureuse.

Les haïkus !

Un sourire...

Je suis chanteuse de musique latine. Même si je n'en vis pas pour le moment, être sur scène en chantant cette musique est ce qui me remplit le plus de joie.

Il fait beau et ça me fait plaisir !

C'est très simple dans mon cas : avoir pu découvrir les chevaux et m'en faire une passion.

Ce qui me rend heureuse en ce moment, c'est mon travail, ma famille, le bonheur de ma famille et de mes amis.

Danser à 3 heures du matin sur de la musique complètement bof, un verre à la main, ça me rend heureuse.

Ecouter la musique que j'aime !

Enfiler mon nouveau jean, m'y sentir bien et belle !

Ce qui me rend heureux, aujourd'hui c'est d'aller retrouver la femme que j'aime sur le quai de la gare ce soir...

Faire du yoga tous les matins.

Avoir encore mal aux jambes après ma balade de l'autre nuit... Ça veut dire que je me suis pas mal baladé. Et j'adooore me balader !

Sortir le soir, danser, assister à des concerts, des ballets, des comédies. Le cinéma. Me retrouver au pub avec des ami(e)s...

Ce qui me rend heureuse, c'est de monter à cheval et de partir faire une longue balade en forêt. Pendant ce temps, j'oublie tous mes problèmes, seule avec mon cheval !!!

Les plaisirs au quotidien, un geste de tendresse, un baiser, une caresse, et me sentir vivante. J’ai une envie de mordre la vie à pleine dent et d'être un peu folle !

Profiter des choses simples de la vie… Le naturel et la spontanéité !

Le bonheur, c'est l'odeur de l'herbe fraîchement coupée, l'odeur de la mer, un air de piano, sentir le soleil qui vous chauffe la peau, mais surtout le chocolat !

Ce qui me rend heureux, c’est de voir le sourire heureux d'un enfant en pleine innocence de la vie.

C’est voir un couple de vieux qui se tient encore par la main…

Tout s'est dessiné avec le temps. Au début, je ne savais pas, je ne pouvais pas savoir. Elle était là pourtant, depuis le début, depuis toujours. Elle était bien là oui mais si loin. Si proche plutôt mais tellement inaccessible que les distances s'emportaient. Et puis, et puis il y avait la vie et tant d'autres joies à côté que, finalement, elle semblait importante, bien entendu, mais pas obligatoire. Pas totalement ni complètement indispensable. C'est arrivé rapidement ensuite avec l'adolescence. Avec ces moments où se noircissent idées et cahiers jetés pèle-mêle dans de grandes boîtes pas bien solides. C'est arrivé une nuit. Une nuit de janvier ou de février lorsque le ciel ouvre son coeur. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond, cette petite pointe d'humidité et cette belle odeur toute frêle et douce. J'ai écrasé la cigarette volée au paquet paternel sur le rebord de la fenêtre et, entrant ainsi dans la grande confrérie des faiseurs de mur, j'ai enfourché mon vieux vélo. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond et sur mon visage une petite pointe d'humidité mêlée à ce formidable goût de l'interdit. C'est uniquement l'énergie de l'instant qui poussait sur les pédales. Oui, je franchissais un petit interdit. Pas un gros car je ne partais boire et fumer toute la nuit en cachette. J'allais, seulement, la retrouver sur mon vélo. Et personne ne le savait. Pour la première fois je découvrais l'intimité. J'aurais pu y aller avant, nous nous étions déjà vu de bien nombreuses fois seuls ou avec des parents, des copains, etc. mais là nous avions rendez-vous. Il faisait nuit. De légers nuages troublaient parfois la douce clarté de la lune. Les champs dormaient. Je ne me souviens pas avoir croisé une seule voiture. Il était peut-être 2h ou 3h lorsque la nuit dort pleinement et entièrement. Au bout de la route, j'ai tourné à droite pour remonter un peu, sur 500 mètres à peine, vers le nord. La lune toujours donnait ses habits surnaturelles à ces heures de silences. Comprenant l'importance de l'événement, mon vélo même avait spontanément arrêté ses petits bruits. Ne restaient que le feulement du vent, le son caoutchouteux des roues et le long murmure de ma respiration. Je me garais sur son grillage. Un peu en retrait de la route, dans la noirceur des arbres, je laissais ici mon vélo et mes dernières attaches au monde réel. Le matin même, en cours d'histoire je crois, nous étions ailleurs et, surtout, j'étais à ce moment à mille lieux de penser que le soir même je me retrouverais ici, près d'elle, dans cet état d'esprit. Lorsque j'y repense maintenant, lorsque j'analyse ce processus, j'y vois l'historique cheminement d'une rencontre amoureuse. Oui, mais c'est facile aujourd'hui, presque dix ans après, de voir cela et de l'écrire. Sur le moment je ne savais pas, je ne pouvais pas et, surtout, je n'avais aucune envie de réfléchir à quoi que ce soit. En m'avançant dans l'ombre des grands arbres, je savais juste que je voulais être là, ce soir là à cet instant précis. Et pour tout l'or du monde je n'aurais pas voulu ne pas être simplement à ce rendez-vous. L'appel était venu si naturellement et avec une telle force sur ce rebord de fenêtre face aux étoiles que resister aurait été non seulement une énorme erreur mais, surtout, une gravissime insulte faite au seul plaisir de l'instant. Je me rappelle presque de chacune de ces secondes qui me séparaient d'elle alors. Des quelques mètres où mes pas s'enfonçaient doucement sur sa peau. La légère montée vers les étoiles, douce et parfaite me faisait voir sous un nouveau jour ses courbes pleines. Ses déliés et son âme surgissaient pour la première fois sur des notes inconnues. Et cette musique... Ses notes surnaturelles m'emportaient vers des ailleurs inconnus et insoupçonnés. Le vent lui-même me régalait de ses rythmes indomptables. J'avançais. J'avançais vers elle, vers cette inconnue si belle et si douce sous la clarté de la lune. En arrivant sur le sommet de la dune, je la découvrais. Je la redécouvrais sur ce nouveau jour, sous cette nouvelle lumière sur laquelle nous allions maintenant établir notre vie et cette relation si particulière. La plage s'étendait là, à droite et à gauche, le long de la côte dans son merveilleux dialogue avec la mer. Des franges de houle se propagaient ses sons miraculeux. J'étais là, seul. Seul avec elle, avec cette plage qui devenait à l'instant ma moitié. La partie de mon âme et de mes rêves sans lequel je ne pourrais pas vivre aujourd'hui. Je crois que, sans le savoir, je vivais ici ce que les autres, ce que l'humanité appelle tout simplement un moment de bonheur. Un moment de bonheur profond et vrai. Un simple moment de vie qui m'illumine à chaque retour, à chaque nouvelle rencontre. Il faisait froid. Froid et sec sur cette nuit belle et unique. Nuit auquelle je me raccrocherai lorsque viendra mon tour d'entendre, dans la nuit, un vélo glisser sur la route de ses rêves.

Ce qui me rend heureuse est de voir, et de continuer à espérer voir, le bonheur sur le visage de mes proches et en bonne santé.

La vie me rend heureuse, ce sentiment de liberté, de dépassement, la douceur du vent sur mon visage, un regard moqueur, une parole, un sourire, qu'importe, la vie a ses merveilles, il suffit de les voir.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'avoir eu des enfants même avec mon handicap.

C'est la réussite au travail et d'avoir fondé une famille.

Ce qui me rend heureux, chaque jour, c'est d'être entouré d'amis, comme aujourd'hui. La vie est faite pour en profiter, même si elle est trop courte...

Mes enfants me rendent heureuse.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'avoir rendu heureux quelqu'un et le voir dans son regard.

Ce qui me rend heureux, c'est quand je fais de la musculation et que mes muscles gonflent à vue d'oeil.

Ce qui me rend heureuse, c'est de voir les gens qui m'entourent en bonne santé et profiter des bienfaits de la vie.!

Ce qui me rend heureuse, c'est l'abondance d'Amour autour de moi !

Les voyages.

Ce qui me rend heureux, c'est que j'ai rencontré une fille au mois d'août et l'on se téléphone toutes les semaines.

Mon ex m’a rendue heureuse.

Les Smiths et... l'anglais Above All, les toiles préraphaélites me rendent heureuse !

Ce qui me rend heureuse, c'est de partager des moments de vérité avec des amis

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est un concert de mon idole et mon dernier voyage en vacances.

Ce qui me rend heureuse, c'est d’oser être moi-même après tout ce que j’ai vécu et, avec le temps, de mieux accepter ce qui m’est renvoyé.

(sourire) La vie !

Ce qui me rend heureuse, c'est d'avoir de bons parents.

D'avoir décidé, il y a longtemps de ne plus porter de montre.

Ce qui me rend heureuse, c'est mon travail.

Mon proprio Richard à Birmingham qui n'allumait la télé que pour s'endormir devant. Moi, j'aimais descendre de ma chambre pour sortir faire mes courses, traverser le salon, passage obligatoire, et le trouver endormi, allongé sur le divan devant un (horrible !) match de boxe !

C'est ma fille qui m'a rendue et me rend heureuse.

Ce qui me rend heureux, c'est un coup de téléphone de ma copine.

L’homme en général, quand il me fait du bien, ha ha ha !

C’est mon chéri !

Ce qui me rend heureuse, c'est de voir ma fille prendre autant à coeur ses études.

Ce qui me rend heureux ? Franchement, ce sont les regards d'enfants.

Ce qui me rend heureux, ce sont les fleurs. Elles sont magnifiques et différentes. Chacune a sa couleur et sa forme. Moi, je préfère les dahlias : elles sont magnifiques.

Dès qu’il neige je suis euphorique ! En fait je suis heureuse pour un rien !

Ce qui m'a rendu heureux, c'est de sortir avec la personne que j'aime en secret...

Les meillleurs moments dans la vie sont ceux où on peut boire un verre tranquillement assis avec tous ses amis à la terrasse d'un café.

Ce qui me rend heureux, c'est être éveillé.

La naissance de mes enfants m’a rendue heureuse, ainsi dans mon quotidien : ma famille et amis me procurent beaucoup de bonheur.

Ce qui me rend heureux, c'est lorsque je retrouve ma campagne, aprés une semaine passée dans la foule parisienne.

La communication avec les autres me rend heureuse !

Ce qui me rend heureuse, c'est tout et n'importe quoi, les délires entre copines.

Mes enfants !

Respirer l'odeur de la campagne le matin.

Quand 'Tof me dit patiemment d'attendre le petit bonhomme vert pour traverser. Je suis incorrigible, semble-t-il !

Mon bonheur le plus sûr est d'être dans les bras de ma mère...

Je suis très content et fière d'avoir concrétiser de partir en vacances en Islande. J'ai pris le billet, loué la voiture, je sais pas où je dors, mais c'est cool !

J'ai ressenti du bonheur, lorsque à la sortie d'un magasin, j'ai vu le visage rayonnant d'un petit garçon qui ne quittait pas des yeux le toboggan que son papa venait de lui acheter.

Manger chez une amie, faire la virée des magasins de loisirs créatifs et avoir les yeux écarquillés d'émerveillement devant toutes ces belles choses, comme des enfants...