Ce qui me rend heureuse ? … Ah j'ai une image ! Lorsque j'étais entourée de prés sauvages en plein été avec celui qui a été pour moi l'homme de ma vie (sans oublier les vaches) !

Ce qui me rend heureuse, la vie tout simplement, le bonheur d'être en vie dans un pays où il fait bon vivre, où les droits de l'homme sont encore respectés, pour combien de temps encore ça c'est une autre question pour un autre temps ! Alors soyez heureux et souriez !

Quand quelqu'un qui ne te connait pas, pense à te dire quelque chose à l'occasion de ton anniversaire ou autres, ça te rend heureux.

Quand je sais expliquer le pourquoi des problèmes de grammaire.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'avoir un binôme !!!

Ce qui me rend heureuse, c'est que ma mère est guérie, et que je suis admise en étude de comptabilité.

Quand mon fils avait deux ans ½, en novembre il attendait déjà Noël. Je lui ai dit que c’était encore loin. Alors là, il m’a répondu avec un grand sourire : «Si c’est loin maman, on n’a qu’à prendre la voiture !». Trop rigolo.

Voir que mes anciennes élèves anglaises m'ont acceptée dans leurs contacts de boîte de dialogue sur internet.

Tout peut me rendre heureuse ! Récemment, dimanche dernier, un homme d’un certain âge s’est approché de moi, m’a longuement dévisagé, et m’a soudainement dit : « Vous êtes très belle ! ». Je n’ai rien dit, mais quand il m'a dit ça, j'ai souri et à l'intérieur, j'étais toute heureuse de l'entendre. Il est parti et je l’ai rapporté ensuite à un copain en souriant qui m'a alors dit « Oui, tu es toute neuve ! » et ça m’a fait rire !

Marcher pieds-nus dans l'appart'.

Mon fils, c'est le seul qui met du soleil dans ma vie tous les jours.

Quand je reçois des SMS heureux !

Ce matin, de cueillir les premiers baisers de mon homme.

Sucer mon pouce en lisant Harry Potter !

Mon copain me rend heureuse !

Ce qui me rend heureuse, pour le moment c'est mon travail, je fais esthetitenne.

Pouvoir dire un graaannnd merci à Chantal pour… tout. Merci beaucoup !

Ce qui me rend heureuse, c'est quand j'arrive, malgré tout, à te faire sourire.

Ce qui me rend heureuse, c'est d’être restée naturelle.

L'achat de ma nouvelle moto me rend heureuse !

Prendre le temps de me sentir heureux !

Un concert endiablé.

Mon homme me rend heureuse !

Tout me rend heureuse, le ciel gris, la pluie, le soleil, le bavardage de ma fille. La connerie des gens, leur bêtise... à chaque coup dur, je relève la tête et je me dis : « S'il y a un souffle de vie, avance ma fille, avance, chaque minute compte dans la vie et on ne peut pas revenir en arrière ! »

Passer tout simplement une bonne soirée avec des amis autour d'un verre partagé.

Le son de sa voix qui me rappelle sa seule existence.....

Voir mes trouvailles réutilisées !!

Youpi, la terre tourne, et la glisse logique trouvera sa fin !

Quand mes amis partent un peu se changer les idées. Je suis contente. Et heureuse aussi de le savoir.

Heureuse d'avoir eu un mail d'une copine de fac et avoir revu une copine pas vue depuis 7 ans... Toutes les deux mariées !!!

Le sourire et le regard d'un enfant lorsqu'il crie Papa ! et qu'il avance, les bras tendus en se dandinant vers vous.

La visite du service de rhumatologie d'Ambroise Paré, le mardi matin en compagnie de mes copines externes me rend tellement heureux !

Avoir pique-niqué le midi avec des amis et fait un barbecue avec les mêmes amis ce soir-même . On a beaucoup mangé, mais on s'est éclaté aussi !

Trouver un bon partenaire de danse.

Dans le désordre et en vrac... l'amour, mes enfants, le soleil, le champagne, un coucher de soleil, manger des crevettes... entendre rire !

Du shopping, des films, plein de choses différentes !

Ce qui me rend heureuse, c'est d'aimer mon Jim chéri et de me dire que mon Choupinet d'amour m'aime aussi !

Tout s'est dessiné avec le temps. Au début, je ne savais pas, je ne pouvais pas savoir. Elle était là pourtant, depuis le début, depuis toujours. Elle était bien là oui mais si loin. Si proche plutôt mais tellement inaccessible que les distances s'emportaient. Et puis, et puis il y avait la vie et tant d'autres joies à côté que, finalement, elle semblait importante, bien entendu, mais pas obligatoire. Pas totalement ni complètement indispensable. C'est arrivé rapidement ensuite avec l'adolescence. Avec ces moments où se noircissent idées et cahiers jetés pèle-mêle dans de grandes boîtes pas bien solides. C'est arrivé une nuit. Une nuit de janvier ou de février lorsque le ciel ouvre son coeur. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond, cette petite pointe d'humidité et cette belle odeur toute frêle et douce. J'ai écrasé la cigarette volée au paquet paternel sur le rebord de la fenêtre et, entrant ainsi dans la grande confrérie des faiseurs de mur, j'ai enfourché mon vieux vélo. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond et sur mon visage une petite pointe d'humidité mêlée à ce formidable goût de l'interdit. C'est uniquement l'énergie de l'instant qui poussait sur les pédales. Oui, je franchissais un petit interdit. Pas un gros car je ne partais boire et fumer toute la nuit en cachette. J'allais, seulement, la retrouver sur mon vélo. Et personne ne le savait. Pour la première fois je découvrais l'intimité. J'aurais pu y aller avant, nous nous étions déjà vu de bien nombreuses fois seuls ou avec des parents, des copains, etc. mais là nous avions rendez-vous. Il faisait nuit. De légers nuages troublaient parfois la douce clarté de la lune. Les champs dormaient. Je ne me souviens pas avoir croisé une seule voiture. Il était peut-être 2h ou 3h lorsque la nuit dort pleinement et entièrement. Au bout de la route, j'ai tourné à droite pour remonter un peu, sur 500 mètres à peine, vers le nord. La lune toujours donnait ses habits surnaturelles à ces heures de silences. Comprenant l'importance de l'événement, mon vélo même avait spontanément arrêté ses petits bruits. Ne restaient que le feulement du vent, le son caoutchouteux des roues et le long murmure de ma respiration. Je me garais sur son grillage. Un peu en retrait de la route, dans la noirceur des arbres, je laissais ici mon vélo et mes dernières attaches au monde réel. Le matin même, en cours d'histoire je crois, nous étions ailleurs et, surtout, j'étais à ce moment à mille lieux de penser que le soir même je me retrouverais ici, près d'elle, dans cet état d'esprit. Lorsque j'y repense maintenant, lorsque j'analyse ce processus, j'y vois l'historique cheminement d'une rencontre amoureuse. Oui, mais c'est facile aujourd'hui, presque dix ans après, de voir cela et de l'écrire. Sur le moment je ne savais pas, je ne pouvais pas et, surtout, je n'avais aucune envie de réfléchir à quoi que ce soit. En m'avançant dans l'ombre des grands arbres, je savais juste que je voulais être là, ce soir là à cet instant précis. Et pour tout l'or du monde je n'aurais pas voulu ne pas être simplement à ce rendez-vous. L'appel était venu si naturellement et avec une telle force sur ce rebord de fenêtre face aux étoiles que resister aurait été non seulement une énorme erreur mais, surtout, une gravissime insulte faite au seul plaisir de l'instant. Je me rappelle presque de chacune de ces secondes qui me séparaient d'elle alors. Des quelques mètres où mes pas s'enfonçaient doucement sur sa peau. La légère montée vers les étoiles, douce et parfaite me faisait voir sous un nouveau jour ses courbes pleines. Ses déliés et son âme surgissaient pour la première fois sur des notes inconnues. Et cette musique... Ses notes surnaturelles m'emportaient vers des ailleurs inconnus et insoupçonnés. Le vent lui-même me régalait de ses rythmes indomptables. J'avançais. J'avançais vers elle, vers cette inconnue si belle et si douce sous la clarté de la lune. En arrivant sur le sommet de la dune, je la découvrais. Je la redécouvrais sur ce nouveau jour, sous cette nouvelle lumière sur laquelle nous allions maintenant établir notre vie et cette relation si particulière. La plage s'étendait là, à droite et à gauche, le long de la côte dans son merveilleux dialogue avec la mer. Des franges de houle se propagaient ses sons miraculeux. J'étais là, seul. Seul avec elle, avec cette plage qui devenait à l'instant ma moitié. La partie de mon âme et de mes rêves sans lequel je ne pourrais pas vivre aujourd'hui. Je crois que, sans le savoir, je vivais ici ce que les autres, ce que l'humanité appelle tout simplement un moment de bonheur. Un moment de bonheur profond et vrai. Un simple moment de vie qui m'illumine à chaque retour, à chaque nouvelle rencontre. Il faisait froid. Froid et sec sur cette nuit belle et unique. Nuit auquelle je me raccrocherai lorsque viendra mon tour d'entendre, dans la nuit, un vélo glisser sur la route de ses rêves.

Ce qui me rend heureu, l'odeur de l'air un soir d'été.

Sortir, une bonne bouffe ou pour un film. J'essaie de positiver quels que soient les événements !

Une balade à la Campagne, du bon fromage accompagné d’un excellent verre de vin, un pique-nique sur une plage !

Ce qui me rend heureuse... La rencontre avec Reynold.

Voir la mer et me baigner. Être dehors prendre l’air. Une balade perdue quelque part. Traîner en terrasse à regarder la vie des autres.

La naissance de ma fille me rend heureuse.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est la naissance de mon neveu.

Ce qui me rend heureuse, c'est que je viens tout juste d'avoir 20 ans et que je me dis que ma vie n'est quand même pas si mal que ça !

Dans mes terres noires profondes, un jardinier passionné aux soins amoureux et délicats, dépose une graine et mes terres noires fécondes promettent au verbe aimer d'accueillir, de nourrir, le fruit engendré sous ma peau lisse gonflée... Je le sens s'épanouir, grandir, jour après jour il est, Bonheur de la vie.

Ce qui me comble de bonheur, c'est de me réveiller chaque matin auprès de lui, sentir son souffle dans mon oreille et de me régler sur la cadence de ses respirations comme si on ne faisait plus qu'un !!!

Être heureux, c'est passer à côté d'un inconnu en sortant du boulot et sentir son délicieux parfum ! L'espace d'un instant. Ça revitamine !

Les jours ensoleillés et les vagues de l’océan.

Le soleil.

De pouvoir pratiquer la sophrologie librement, d'être en vacances avec mes trois enfants et mon cher et tendre mari au bord de l'océan.

Ma fille me rend heureuse, c'est un bonheur qui dure.

Ce qui me rend heureuse, c'est de partir en week-end à Rome avec mon ptit amour que j'aime à la folie !

Ce qui me rend heureuse, c'est de m'endormir tous les soirs et de me réveiller tous les matins dans les bras de Mon Amour...

Mon bonheur, c’est la naissance de mes enfants.

Ce qui me rend heureux : c'est le bonheur, le soleil (et le vin).

Ce qui me rend heureuse, que mes parents soient en bonne santé après l'opération.

Mes petites nièces, que je gardais, qui m'ont dit en rentrant du boulot : « Tu es belle tata ! ». Elles ont 2 ans et demi.

C'est le jour où j’ai trouvé un mari blanc sur net.

Ce qui me rend heureux, d'être libre de me promener.

Des moments de complicité avec mes chiens et chevaux.

J'ai une fille avec qui j'aime passer le temps.

Le jour du mariage de mon fils m'a rendue heureuse.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est la réussite de mes projets et d'avoir eu mes diplômes.

Ce qui me rend sinon heureux, du moins joyeux, ce sont les joies intellectuelles: ça peut être de comprendre soudainement quelque chose, par exemple en physique ou dans un autre domaine, qu'on avait pas compris jusqu'alors, il y a une espèce de lumière qui fait tilt dans la tête et qui met dans une sorte d'état d'ivresse. C'est aussi de lire un livre et de se dire que cet auteur là c'est mon frère, c'est à dire de rencontrer quelqu'un qui pense comme nous alors que ces pensées paraissaient être plutôt des symptômes d'isolement. On se rend compte qu'on a un frère en pensée, et cela procure une joie durable.

Je suis heureuse d'avoir dégusté un délicieux Opéra avec mon café ce midi !

Ce qui me rend heureux, c’est une fenêtre dans son cœur…

Ce qui me rend très heureuse, c'est mon mariage avec un ami d'enfance. Nous sommes mariés depuis 56 ans sans gros nuages, nous y avons mis du nôtre de chaque côté, nous avons 5 enfants, 2 filles, 3 garçons, 12 petits-enfants et arrières-petits-enfants. Les enfants ont toujours été gentils, nous ne devons pas nous plaindre. Le vrai bonheur, on le fait soi-même avec de la bonne volonté et beaucoup d'amour. Nous avons eu des difficultés comme tout le monde, nous sommes tous en vie, nous pouvons remercier Dieu. Nous n'avons pas eu de grands malheurs, comme certaines personnes, mais nous avons travaillé et cela est normal. Je suis très heureuse avec mon mari.

Ce qui me rend heureuse, c'est de voir mes amis tous les jours et de pouvoir leur dire que je les aime.

Ce qui me rend heureuse... l'amour, la passion, la neige, ma nièce de 2 ans, les voyages aux belles plages, ma famille, la gentillesse des gens, l'amitié sincère, être en France, être saine, être positive, des câlins, un bon sommeil, un bon plat sain, une belle robe, des belles chaussures, une belle petite maison confortable, la propreté, la douceur...

Les câlins !

Entendre les mouettes le matin quand je sors de chez moi pour aller prendre le bus.

Me savoir vivante me rend heureuse.

Ce qui m’a rendu heureux, c’est la rencontre avec mon amie.

La venue de mon petit ami dans ma vie m’a rendue heureuse.

Ce qui m'a rendue la plus heureuse, c'est l'arrivée dans ce monde de mon fils (qui a bien grandi depuis puisqu'il a 23 ans maintenant !).

Le sourire de ma mère.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est quand j'étais au parc d'attractions.

Ce qui m'a rendu heureux, c'est mon mariage.

Ce qui me rend heureux, c'est le soleil.

Les gens drôles me rendent heureux.

Le regard de l’homme que j’aime me rend heureuse.