Ce qui les rend heureux... | Happython

Rechercher un témoignage

Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

Parfois, aider un escargot à traverser son chemin, le téléporter d'un endroit à un autre. Même si c'est un guerrier puissant qui peut passer entre les roues d'une voiture, autant lui donner un coup de main...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est la dernière rencontre avec ma fille, le 1er novembre 2008, à Bordeaux.

Thierry , 59 ans, Thorigny (France)

L’éclairage du printemps, la vibration de l’air !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Suivre un « régime Happython » sur une période donnée, et partager ça avec d’autres, me fait marrer et m’intéresse grandement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

En 2003, un journal gratuit national nous avait donné un espace avec un encart pour relater l’évolution du Virus du Bonheur. Ainsi, tous les jours, il y avait un témoignage heureux et le nombre associé du site. Certains lecteurs, devenus fans du Happython, y mettaient du cœur, notamment une personne de Toulouse qui, pour faire monter le Record du Monde des moments heureux, allaient jusqu’à laisser 30 témoignages heureux certains jours ! Grâce à elle, Toulouse a bénéficié de plusieurs milliers de messages ! Respect !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mieux voir que lorsque j’interprète les choses, ça ne me sert pas forcément.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux quand je ris et que je vois les autres rire.

Thierry , 36 ans, Carpentras (France)

Les cours de bande-dessinées à l’université Paris VIII, j’avais l’impression de comprendre enfin ce que je savais déjà en le ressentant. Les cours à Duperet, qui m’ont aidé à saisir la subtilité de quelques techniques graphiques.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Savoir qu'aujourd'hui Dujardin et Hazanavicius ont décroché le multi Jack Pot Oscar (sans parler du reste !) m'a bien fait plaisir... J'ai vraiment apprécié Le grand Détournement, les OSS 117 et The Artist, super content pour eux !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j'étais jeune, travailler avec des enfants pendant que j'étais à la fac (et un peu après) m'a appris des choses importantes qui rendent heureux. Notamment que tant qu'il y avait du lien entre les choses, du jeu, une finalité à atteindre, des choses à construire, partager, et que le challenge en vaut la peine, l'essentiel est vécu...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir scénarisé des films pour le Happython, avoir joué des rôles de Villageois, d'Agents, de Médiateur, et partager ça avec Arnaud notamment, et Geneviève, m'a rendu heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Appliquer à moi-même ce que je propose parfois à d'autres me rappelle comme tous ceux que je rencontre sont bel et bien dans ma vie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est que tout est nickel !

Thierry , 54 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le travail de relecture, de corrections et de mises en page que j’ai faits (avec deux autres acolytes) sur les entretiens entre Tolle et Oprah, « Nouvelle terre sur le web » et que ça ait pu être mise en ligne pour que ceux qui étaient intéressés puissent en bénéficier.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand cette idée d’Agents du Bonheur (des personnes donc, qui allaient choisir de poser cette question à travers le monde) a surgi, j’étais un peu sceptique sur l’impact que cela pouvait avoir sur le réseau internet, c’était en 2002. Dans les jours qui ont suivi, une quarantaine d’internautes se sont inscrits et notamment un enfant de 5 ans, sa maman et une personne de Douala, au Cameroun. Je me suis dit que c’était bon signe ! L’avenir était d’accord également puisqu’il y a eu plus de 3 000 inscriptions depuis. Merci à ceux et celles qui se sont amusés (un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout !) à propager ce Virus du Bonheur un peu partout dans le monde, même sans s’être inscrits directement sur le Happython !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Au départ, j’étais le seul à poser la question heureuse du Happython (normal !). Voyant l’effet qu’elle procurait chez les autres (un heureux effet, donc), j’ai demandé à d’autres de la poser autour d’eux, afin de voir quelle expérience ils vivaient de leur côté. Ils m’ont confié alors qu’ils observaient le même effet que moi : un espace pétillant, léger et souriant, et l’envie de continuer à le faire ! C’était facile, avec quelques consignes de bon sens. Les «Agents du Bonheur» étaient nés et c’était le départ du Virus du Bonheur. Il n’y avait qu’une ou deux centaines de témoignages heureux à cette époque et pas encore de Happython sur internet, juste des fax, des lettres, des post-it…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir eu des périodes où j’ai beaucoup joué aux Dames, quand j’étais ado… A un moment, même quand je communiquais ou je jouais au tennis, j’avais l’impression que c’étaient les mêmes règles ! Avancer un pion, avancer au filet, avancer un point de vue, ou un échange, revenir, intégrer deux points de vue, faire des points gagnants, et avancer, tranquillement, mais sûrement, vers le fond du damier et à la volée !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Tenir davantage compte de choses qui ne me convenaient pas, qui étaient toujours là, et sur lesquelles je me disais « Bon, c’est pas important ! » ou « Oh, non, pas encore ça, vite mettons-le de côté ! ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Faire confiance en la vie, faire équipe avec elle, intime… in-team…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Alors que j’étais interviewé par un journaliste, celui-ci me demande : « Quel est le moment heureux qui vous revient dans le Happython ? ». Je lui parle de cet Agent du bonheur de Vaulx-en-Velin, qui nous avait dit : « C’est drôle, aujourd’hui, j’ai eu 34 témoignages heureux. Et en fin de journée, j’étais surpris de voir que les gens que je croisais me souriaient. Je me suis alors demandé s’ils me souriaient parce que je leur avais déjà posé la question ou si, simplement, en posant la question aux autres, on rayonne du bonheur ? ». J’étais alors avec d’autres Agents du bonheur (une équipe qui avait travaillé avec moi sur le projet de Jeumont), et entendant ce récit, deux d’entre eux me disent : « Moi aussi ! C’est exactement ça ! Des gens m’ont demandé d’où je tenais cette banane ! ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'ai aimé aller à Tunis, à l'époque où mes grands-parents étaient en vie. Je me rappelle du chameau qui tournait dans le café, les palmiers, les odeurs, le jasmin, les glaçons géants (ils n'avaient pas de frigo), les marchés... la plage... !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

De voir ma fille m’a rendu heureux...

Thierry , 29 ans, Saint-Ouen-l'Aumone (France)

Voir arriver des témoignages heureux d’amis, de connaissances, d’inconnus : d’Espagne, du Cameroun, de Russie, de Belgique, Suisse, Madagascar, de France, bien sûr,… etc.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir les gens heureux autour de moi.

Thierry , 32 ans, Paris (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'être à l'écoute.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est d'avoir participé à une réunion politique où nous avons construit ensemble un peu plus de démarches.

Thierry , 74 ans, Chatenay-Malabry (France)

Les tournois de tennis dans le carré de service.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’aime ressentir la vie, quand parfois mon esprit ne traduit rien du monde, que je sens un flux constant et léger.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir le choix et me surprendre à me dire : « Tiens, qu’est-ce que je pourrais ressentir et penser, là ? »… Jusqu’à ce que je me rende compte que… j’ai déjà fait le choix de me poser cette question (ce qui est un bon début !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'ai bossé récemment avec quelqu'un pour faciliter la réalisation de son projet personnel et ce qui m'a plu, c'est cette phrase qui m'est revenue à l'esprit : "On enseigne le mieux ce qu'on a besoin d'apprendre"... La vie est un joli reflet en spirale...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Voir que le score des 53 000 messages heureux sur le Happython est dépassé ! Ça ne sert à rien, mais c'est heureux !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'ai été très heureux d'apprendre la basse tout seul et de faire un concert free-style trois mois plus tard... J'aimais transposer ce que j'apprenais du rythme et de la mélodie dans la vie, mon rapport au monde, aux autres....

thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être allé pour la première fois en vélo d’Aulnay-sous-Bois, où j’habitais quand j’étais enfant, jusque la forêt de Senlis, avec Check, avec qui je chantais : « Don’t play that song for me » d’Adriano Celentano, on se prenait pour des cyclistes chanteurs et on s’éclatait de rires. Avec aussi Pascal, Cidoine, Mihran, une heureuse expédition !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, savoir que je peux aimer, si j’ai suffisamment le temps.

Thierry , 38 ans, Noisy-le-Grand (France)

Vivre, vibrer…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avant de m’endormir, quand j’étais gosse, certains soirs, je m’imaginais avoir chaque qualité des super-héros que j’admirais, je faisais des catégories : intelligence (Red Richards/Mr Fantastic), instruction en biologie (Hank Pym/Giantman), génie (Professeur X, Tony Stark), force (Hulk, ou la chose, ou Thor, j’hésitais), souplesse (Daredevil, Panthère noire)… C’était une méditation fertile, mais ça ne m‘endormait jamais !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux car le hasard à voulu que depuis un an nous nous connaissons sans même nous être vu, que l'on discute sans même ouvrir la bouche, et pourtant l'on a appris à se connaître, se respecter, s'apprécier. Je suis heureux car ce même hasard a fait croiser nos chemins. Je suis heureux car depuis une semaine je ne peux plus m'éveiller, agir, respirer, sans plus penser à elle. Je suis heureux bien que je ne sais pas si j'ai raison de vivre, de respirer. Je suis heureux car j'ai une raison de vivre, et ferais tout pour la rendre heureuse. Je suis heureux de penser qu'un jour cet oiseau mythique renaîtra de ses cendres pour moi. Je suis heureux tout simplement parce que je l'aime.

Thierry , 32 ans, Paris (France)

Aller sur les quais de Paris, aux bords de la Seine, voir les bouquinistes et admirer les Strange, Marvel, Fantask, les comics américains épinglés et entourés d’un plastique… C’étaient des œuvres d’art, pour moi ! Ils vibraient dans l’air !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux, quand je m’y arrête, de sentir que le bonheur ne dépend pas uniquement de ce que je fais, ou pas.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

M’impliquer dans ce que j’aime, savoir alterner pour prendre du temps, échanger avec d’autres, avoir davantage confiance en la vie, voir davantage également la différence entre ce que je « veux » pour tenter d’éviter quelque chose, et suivre mes élans qui parfois me font traverser les obstacles sans m’en apercevoir.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première chanson que j’avais écrite, et tenté d’interpréter : Pin Up Penelop’, et enregistrée en studio. J’étais très content.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Une kermesse de fin d’année, pour la remise des prix, en CM1, dans un élan euphorique, avec deux autres, on avait décidé de chanter: « C’eeeest un fameux trois mats fins comme un oiseauuuu… hisséooooooo, santianooooo… » mais j’ai complètement oublié les paroles et tout le monde s’est planté, on s’est vraiment éclaté de rires, en racontant des histoires absurdes et ça a un peu dégénéré sur l’estrade… L’animateur et professeur pensait qu’on avait inventé un sketch et tentait de gérer avec le petit public.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir travaillé sur les futurs formulaires de l’Agent Dépoussiérant et du Liquidator, savoir qu’ils seront bientôt accessibles au public dans le Happython ! Après l’éveil des moments heureux, le dépoussiérage !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Jouer à la deli-delo dans la cour de récréation de primaire, cache-cache dans la cité, balle aux prisonniers en CM1, monter sur le toit des immeubles et voir de haut…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est l'espace entre les gouttes de pluie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être touché par la vie des gens.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’apprécie vraiment le jeu de basse de Victor Wooten, il a une telle décontraction, virtuosité, créativité et humour quand il joue, que c’est un bonheur !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Lire les témoignages heureux des gens me touche. Parfois, ça me rend heureux malgré moi, ça vient me réveiller un appel doux et bon.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a bien fait plaisir (et rendu heureux) cet après-midi endimanchée, ça a été de voir en vidéo Victor Wooten, dans un concert (Bass Day 1998), mêlé d'une conférence sur la musique comme un langage. C'était vraiment fun, agréable, brillant et m'a rappelé d'autres agréables moments...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Comprendre chaque jour pourquoi je suis sur Terre.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

Avoir fêté symboliquement le passage des 50 000 témoignages heureux, avec Ben, Séb et Mag, en buvant une bière chti ! Et avoir des coups de téléphone, des mails de proches, d'amis, pour en parler.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de jouer au golf avec mon épouse.

Thierry , 39 ans, Mons-en-Baroeul (France)

Le premier exposé que j’avais présenté, avec Mihran, en CM2. On avait choisi le thème des religions, on avait collé plein de feuilles, fait des dessins, avec les symboles des grandes religions. J’étais content, ça faisait sérieux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'étais souvent avec ma tante quand j'étais enfant. Sa coupe de cheveux me faisait rire. Elle était speed, un caractère spécial, mais elle aimait bouger avec moi. On marchait ensemble dans tous les marchés, car j'adorais trouver des vieilles bande-dessinées chez les bouquinistes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui est vraiment cool, c’est de lire tous ces témoignages heureux ! De sentir leur potentialité, le vécu derrière, ce qui est ressenti, intime et à la fois universel.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'avais animé un stage en Allemagne et le soir, j'ai été surpris de voir que j'avais un arbre dans ma chambre, et dehors il y avait une source vive et bruyante, en pleine montagne.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Là, je me sens tranquillement à ma place, dans un élan qui est plutôt cool et stable. La constance, échanger et réaliser me rend heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La naissance de ma fille m’a rendu heureux.

Thierry , 42 ans, Marseille (France)

Ce qui me rend heureux, ce sont ces personnes, artistes, écrivains, cinéastes, poètes, inconnus insolites, de la ville, de la jungle et du désert, prophètes, et pros de la fête, qui laissent des traces d’inspiration autour d’eux, qui ouvrent des chemins de créativité, des flux de vie qui rappellent l’essentiel, tout en donnant envie d’apprécier les illusions solides et les blagues cosmiques.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir eu Alain, un ami d’enfance, au téléphone cet après-midi. Il a eu un AVC, je ne le savais pas. Il est en rééducation, et il me disait qu’il se sentait serein. Il semblait plus en contact avec lui, après tous les déboires qu’il avait vécus. Il m’a confié que ce qu’il avait vécu dans son enfance pouvait avoir participé à ce choc. Il avait un point de vue plus profond sur sa vie et son avenir. Content pour lui, qu’il s’éveille à tout ça.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mon bonheur, c'est de me dire le matin au réveil qu'il faut que je me lève et de me dire aprés qu'on est samedi et que je ne travaille pas le samedi, donc je peux rester au lit !!!

Thierry , 45 ans, Thiais (France)

Mieux sentir la différence entre ce que je veux avec insistance, pour combler un vide avide, et suivre mon élan, volontairement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir découvert via le hasard du net, ce danseur liquide appelé David Elsewhere, ce qu'il fait est vraiment étonnant, et de voir un tel monde intérieur en mouvement, ça détend heureusement !

Thierry , 44 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avant la première expo, j’avais rencontré Pierre Cabanne, décédé depuis, critique d’art, historien et biographe de l’artiste Marcel Duchamp, un des pères de l’art contemporain. Je lui avais parlé de la dynamique du Happython, la vision que j’en avais, de l’intérêt de trouver le choix du regard (allusion à la phrase de Duchamp : « C’est le regardeur qui fait le tableau »), non pas uniquement dans le monde de « dehors » mais aussi dans son monde intérieur. Et aussi de l’aspect viral de la dynamique, la possibilité des futurs Agents du Bonheur, des conséquences multidimensionnelles au niveau du collectif. Après m’avoir entendu, il me confia : « Ce que vous dites aurait sûrement intéressé Marcel Duchamp ! ». Le fait que ce monsieur se rende disponible pour m’écouter et que, selon lui, « Le » Marcel aurait apprécié, m’a encouragé. Il m’a conseillé de m’engager en mon nom dans cette dynamique, de garder la dimension universelle mais d’en prendre la responsabilité d’artiste. Il est venu à mon premier vernissage au Salon Le Corbusier et m’a encore suivi quelques temps, puis il est parti. Heureuse rencontre !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première fois que j'ai vu ma nièce Lili.

Thierry , 28 ans, Saint-Laurent-en-Grandvaux (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir parlé ce matin avec deux personnes d'âme à âmes de cœur à cœur sans jugement et sans crainte d'être jugé.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

J'aime l'agitation de l'écume sur l'océan de la vie, j'aime le bruit des vagues au large du silence, sous les sombres nuages, et les courants qui inspirent l'apaisement, vers les rives sans âge, rivage.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les phases de certitude dans la vie, selon les âges, et les regards et les sourires profonds, à tous les âges…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mieux observer en moi-même les critiques que j’imaginais uniquement être chez certains autres, ça crée des affinités !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'avais dessiné un portrait de Bob Marley, quand j'étais pré-ado, ado, j'en étais plutôt content, et je l'avais donné à une Sandrine de Yerres, ça m'avait rendu heureux de l'avoir fait !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Après que j’aie obtenu sa réponse à la question heureuse du Happython, ma dentiste est devenue à son tour Agent du Bonheur. Elle laissait des formulaires Happython dans sa salle d’attente. Parfois, les patients répondaient et elle me donnait ensuite les notes que je mettais sur le site. Elle me raconta plus tard cette histoire, où une femme avait répondu quelque chose de spontané sur le moment, sans vraiment réfléchir. Et en la rencontrant deux ans plus tard dans un autre contexte, elle lui avoua que c’était grâce au fait qu’elle s’était posée la question (qui avait bien tourné dans sa tête) qu’elle décida de se marier. Effet kiss cool (enfin, j’espère !) !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L'amour (à deux) me rend heureux !

Thierry , 29 ans, Nantes (France)

Quand j'étais minime, j'ai gagné mon premier tournoi de Tennis, j'ai bu du Champagne dans ma première coupe et je suis rentré pompette chez moi, en chantant avec des amis autour du parking. Première victoire et première euphorie !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’avais fait une expo au Salon Le Corbusier, à Paris, et auparavant, j’avais mis des formulaires du Happython, dans la boîte aux lettres des étudiants qui habitaient dans le bâtiment. Le jour du vernissage, un étudiant vient me voir et me dit : « Vous savez, quand j’ai lu votre question sur ce qui me rendait heureux, je n’ai pas trouvé tout de suite de réponse, en vérité, j’ai même mis 4 jours pour trouver une réponse qui me convenait ! J’étais content de la trouver, mais… Je ne m’en rappelle plus ! ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Alors qu’un jour je pose la question heureuse du Happython à une dame, elle me donne sa réponse et, comme le contenu pouvait le laisser transparaître, elle me confie qu’elle était policière. Après avoir noté son témoignage, son prénom et sa ville, je lui fais part de cette idée que finalement, on avait un job complémentaire. En tant qu’apprenti Agent du Bonheur, je veillais au rappel des moments heureux, tandis qu’elle, avait la fonction de maintenir la paix. Il y a bien des Gardiens de la Paix, alors pourquoi pas des Gardiens du Bonheur ? Partager des moments heureux permet peut-être d’être en paix ? Pour moi, l’inverse marche aussi !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, aujourd'hui... C'est de ne pas savoir ce qui m'attend et que ce sera le meilleur pour moi et ceux que je vais rencontrer quoiqu' il advienne...

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir enfin des photos de mes amis prises il y a 4 mois !

Thierry , 21 ans, Bordeaux (France)

Tous ses ami(e)s d’enfance que j’ai côtoyés : Mihran, Alain, José, Marie-Anne, Marc, Denis, Jean-Claude, Gilles,... Toutes ces expériences et ses dialogues qui ont nourri mon chemin… Ces entrecroisements créatifs…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux quand je fais ce pourquoi je suis fait. Notre fin à tous étant le Paradis, on est véritablement heureux quand on en prend le chemin, celui de la Sainteté.

Thierry , 21 ans, Versailles (France)

Remarquer que lorsque je me sens heureux, j’ai moins besoin de plaisirs, quels qu’ils soient, mais que finalement, c’est bon quand même…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir que la magie de la coupe est encore présente en football.

Thierry , 56 ans, Paris (France)

Tout à l'heure, j'ai fait du vélo sous la pluie, y'avait des gouttes géantes qui entraient dans mes yeux, j'avais l'impression d'avoir 13 ans et demi tellement c'était marrant, d'avancer en danseuse, en sens interdit, plus vite que les gouttes, et rentrer comme une soupe... C'est vrai, il y a des moments comme ça, qui sont tellement simples...

Thierry , 45 ans, Noisy-le-Grand (France)

Des séries récentes m’ont donné beaucoup de plaisir : Homeland, Boss, Louie, Boardwalk Empire, Treme,…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Je
témoigne