Ce qui les rend heureux... | Happython

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Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

Être allé en Espagne avec Jean-Claude, un petit ampli basse, les rencontres, Marc, le village, le frizbee…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir parlé ce matin avec deux personnes d'âme à âmes de cœur à cœur sans jugement et sans crainte d'être jugé.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

J’apprécie grandement de lâcher-prise. Et ça marche d’autant plus, quand je me rends compte que je suis train de m’accrocher à quelque chose que je ne veux plus vraiment.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, l'amour bien sûr... et la quête du moi également, quand on arrive à mettre le doigt sur quelque chose d'inconscient en soi-même.

Thierry , 38 ans, Thorigny-sur-Marne (France)

Quand j'étais pré-adolescent, je vivais en HLM. Un jour, j'étais dans ma chambre avec un ami à écouter de la musique, un ouvrier se mit à attaquer mon premier étage au marteau- piqueur, au niveau de ma fenêtre, au point qu’on n’entendait plus la musique. Il s’arrêtait, on en profitait pour reparler, et il réattaquait et ainsi de suite. A un moment, j’ai eu l’idée d’enregistrer le bruit de son labeur et quand il s’arrêtait, derrière nos rideaux, on mettait le son à fond de notre côté, avec les baffles orientées vers la fenêtre. C’était crétin, mais on s’est bien marré à imaginer sa tête, et oui, ça nous a rendus heureux à ce moment-là !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La naissance de ma fille m’a rendu heureux.

Thierry , 42 ans, Marseille (France)

Le moment délicieux où ma femme joue la mutine, quand ses yeux brillent d'une espièglerie teintée de libertinage !

Thierry , 38 ans, Villiers-sur-Marne (France)

Quand j’ai commencé à faire le projet Happython, il suffisait que je parle à quelqu’un de connu ou d’inconnu, en direct ou par téléphone, tôt ou tard, je lui demandais ce qui le rendait heureux. Très souvent, les gens me répondaient en souriant (je devinais le silence du sourire quand c’était par téléphone), sauf quand ils n’en avaient pas envie. Ça m’a aidé à trouver mon rythme pour poser la question, aussi l’espace pour obtenir une réponse et accepter quand il n’y avait aucun écho.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Voir toutes ces connaissances, ces amis, venir dans cette aventure Happython, voir le nombre des témoignages progresser par dizaines et apprécier leur contenu.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est les filles qui font entre 95 C et 110 E de poitrine !

Thierry , 25 ans, Saint-Gratien (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'être en paix avec ma femme, mes enfants et de garder cette paix avec tous et toutes personnes que je rencontre au quotidien.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

La mère d'un ami, qui à plus de 90 ans, toujours tonique, a dit à sa famille : "Oh ce soir, je suis vraiment fatiguée, je vais me coucher tôt !" Et elle est partie comme ça, pendant son sommeil. La famille a bien sûr regretté son départ, mais en a gardé une sensation sereine.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir travaillé toute la journée sur le Happython et de ne pas avoir vu le temps passer.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux quand je ris et que je vois les autres rire.

Thierry , 36 ans, Carpentras (France)

Faire la sieste parfois, et parfois méditer la nuit.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

A la première expo du Happython in situ, à la Poste de Pantin-les-Limites (véridique : joli nom !), entre Bobigny et Pantin, en octobre 1998, l’effet que donnaient les témoignages épinglés sur des fils à linge au dessus des guichets, et les posters, étaient vraiment drôles. Les clients avaient les yeux en l’air, étaient étonnés ou souriaient et semblaient plus paisibles. Les emploi-jeunes, à l’époque, avaient été supervisés pour, quand ils en avaient la possibilité, poser l’heureuse question, à celles et ceux qui faisaient la queue. A la fin de l’expérience qui a duré 15 jours, le responsable nous a dit qu’il avait perçu moins d’agressivité pendant cette période et nous a remerciés. Premier effet collectif du Happython !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’aime ressentir la vie, quand parfois mon esprit ne traduit rien du monde, que je sens un flux constant et léger.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir développé des amitiés profondes et réelles, avec des hommes et des femmes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand je faisais du tennis, en minime, j'ai vu un match entre Borg et Deblicker à Roland Garros ! J'aimais vraiment ce champion parce qu'il était zen, le fameux ice-borg, fond de court permanent, pas de montée à la volée, métronome...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Apprendre, désapprendre, aimer d’illusion avec intensité (rappels des mémoires et idéaux merveilleux), aimer simplement, dans le présent, accuser, s’accuser en secret, parler, silence, ressentir et redevenir qui on a jamais cessé d’être. J’aime les cycles de vie et l’impression que j’ai pu avoir à chacune de ces périodes de vie, que des certitudes allaient me guérir de... je ne me rappelle plus quoi (!)

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L'amour de mes proches.

Thierry , 46 ans, Paris (France)

Le premier personnage que j’ai dessiné pour le Happython était le Liquidator : « Celui qui liquide tout ce qui vous a fait du tort ». Un personnage en noir et blanc, rond à ventouses, et légèrement macabre. J’avais demandé à une amie illustratrice de dessiner l’Agent du Bonheur et les autres également (Agent Dépoussiérant, Agent Actif, etc), ainsi que les Villageois alter ego (Flasheur, Aquoiboniste, Forçat,…), d’après des descriptions et esquisses que j’avais faites. C’était une belle production, le définitif était impeccable et pendant 5 ans, la référence des images du Happython. Une semaine avant la mise en ligne du nouveau site, avec le renouveau graphique, conceptuel et internet, le 21 mars 2011, j’ai décidé de réactualiser le monde visuel du Happython. C’était un défi, et j’ai stylisé et redessiné les personnages du Happython au pastel, en m’inspirant de la forme rondouillarde et tentaculaire du Liquidator qui avait la cote depuis le début. C’était un vrai speed de tout terminer dans les temps, et ça m’a vraiment rendu heureux d’apporter cette dernière touche personnalisée, de voir ce nouveau monde.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Jeudi, je déjeune avec ma fille de 4 ans et ses copines à la cantine de son école !

Thierry , 38 ans, Suresnes (France)

Je suis heureux car le hasard à voulu que depuis un an nous nous connaissons sans même nous être vu, que l'on discute sans même ouvrir la bouche, et pourtant l'on a appris à se connaître, se respecter, s'apprécier. Je suis heureux car ce même hasard a fait croiser nos chemins. Je suis heureux car depuis une semaine je ne peux plus m'éveiller, agir, respirer, sans plus penser à elle. Je suis heureux bien que je ne sais pas si j'ai raison de vivre, de respirer. Je suis heureux car j'ai une raison de vivre, et ferais tout pour la rendre heureuse. Je suis heureux de penser qu'un jour cet oiseau mythique renaîtra de ses cendres pour moi. Je suis heureux tout simplement parce que je l'aime.

Thierry , 32 ans, Paris (France)

Participer à l'évolution du Happython !

Thierry , 49 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être allé en Egypte, en 1992, avoir fait un périple avec des adolescents pendant 3 semaines, d’abord en touristes, sur un trajet planifié, puis free-style. Avoir nagé en mer Rouge et avoir vu des fonds matins, incroyables, lumineux et profonds. En me laissant flotter et en ouvrant les yeux, je découvrais le fond, immense et lointain, vue d’un gratte-ciel. J'avais presque le vertige de voir ces abysses du ciel de la surface, comme un humain transitant entre deux mondes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première expo a eu lieu dans une poste en Seine-Saint-Denis, mais pour la deuxième, c’était dans le Salon Le Corbusier et je m’étais dit que je devrais peut-être faire un effort créatif. A part des fils à linge pour étendre les moments heureux recueillis auprès des Agents du Bonheur, je me demandais quels genres de structures pouvaient être adaptées. Je faisais des crobars, imaginant des structures métalliques délirantes et à la fois, je le sentais moyen. Un après-midi, je vais chez mes parents, ma mère étend son linge sur un Tancarville, mon attention est attirée. La structure est simple, c’est un objet du quotidien, pratique, et… ça roule ! Voici la structure rêvée ! Le Tancarville s’est transformé en « Porte-Bonheurs » ! Et j’ajoutais ensuite, dans un des films et quelques posters : « Après avoir lavé son linge sale en famille, peut-être est-il temps de le faire sécher proprement ? ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mieux voir, percevoir, et concevoir certains éléments de ma vie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Découvrir tous ces témoignages heureux sur le site me donne des rappels permanents de moments où je peux souvent dire : « Ah oui, moi aussi, ça me faisait ça ! » ou « Ah oui, moi c’est pas exactement pareil, mais oui... ! ». Et même les " Pas pour moi ! " me sont familiers ! Il y en a qui sont réellement simples et totalement insolites, touchants, profonds, délicats, sensibles, directs… Je me sens concerné par tout !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Penser à mes ami(e)s, accepter le présent qui s’agrandit, et la sensation du passé qui diminue, disparaît, s’efface… Avec le temps, tout s’en va.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Cette vision d’un monde où le bonheur peut se propager, naturellement, en jouant, en le décidant, ou en écoutant le flux de la vie… me fait sourire intérieurement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'apprécier, d'oublier parfois, certes, mais l'envie de retrouver cette aptitude un peu plus à chaque fois.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux quand je fais ce pourquoi je suis fait. Notre fin à tous étant le Paradis, on est véritablement heureux quand on en prend le chemin, celui de la Sainteté.

Thierry , 21 ans, Versailles (France)

Courir de temps en temps sur les bords de Marne.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Faire plus facilement la différence entre "Le moral est au beau Fixe" et "le Mort-râle est au Bof X".

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je me promenais avec ma parents, en vacances d’été à la Bourboule, et soudain, sur la route, je vois un billet de 10 francs, puis, un peu plus loin, un deuxième et… un troisième, et un autre, un autre, j’en ai trouvé 8 qui se suivaient !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’avais fait une expo au Salon Le Corbusier, à Paris, et auparavant, j’avais mis des formulaires du Happython, dans la boîte aux lettres des étudiants qui habitaient dans le bâtiment. Le jour du vernissage, un étudiant vient me voir et me dit : « Vous savez, quand j’ai lu votre question sur ce qui me rendait heureux, je n’ai pas trouvé tout de suite de réponse, en vérité, j’ai même mis 4 jours pour trouver une réponse qui me convenait ! J’étais content de la trouver, mais… Je ne m’en rappelle plus ! ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

En recevant un mail aujourd’hui, je me suis rendu compte que l’année de ma naissance a aussi permis d’exister à : Ma sorcière bien-aimée, Mary Poppins, Le Gendarme de Saint-Tropez, Angélique, Marquise des anges, l’arrivée des Pink Floyd et des Who, et le Docteur Folamour de Kubrick !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est la vie tout simplement.

Thierry , 31 ans, Voiron (France)

J'avais une nourrice quand j'étais gosse. Un jour dans le balcon du HLM où elle habitait, j'ai trouvé une bande-dessinée, Strange numéro 8 dans un carton. Ça a été comme un choc ! Il y avait les Xmen, Iron Man, le Surfer d'Argent... Quand j'ai vu ces personnages mutants, fantastiques, héroïques, maintenant très connus, mais à l'époque, totalement inconnus en France, j'ai senti une affinité que je n'avais jamais rencontrée... Quelques années plus tard, j'étais avec ma tante, on se baladait et dans un kiosque à journaux, j'ai vu le Strange 28 ! A ce moment-là, j'avais le sentiment d'avoir trouvé quelque chose d'essentiel dont j'allais suivre la trace pendant des années. Et je passais dans un autre monde, en lisant, déchiffrant, me délectant, anticipant, transposant ce que je découvrais sur ces feuilles colorées, dans le monde dit réel des adultes, décidément tous mutants.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est la dernière rencontre avec ma fille, le 1er novembre 2008, à Bordeaux.

Thierry , 59 ans, Thorigny (France)

Il y a eu des concerts mémorables qui, à travers le temps et mes goûts de l'époque, m'ont vraiment fait kiffer : Level 42, Marcus Miller, Peter Gabriel, Stanley Clarke (plus récemment, avec Marcus Miller et Victor Wooten), Higelin, Tracy Chapman, au tout début, Mahavishnu Orchestra (avec Jonas Helborg), Miles Davis, Queen, Nougaro, Sting, Jon Scofield,...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j’étais gosse, en CM2, j’avais dessiné une courte bande-dessinée, en reprenant mes super-héros préférés. Faire se rencontrer ces personnages selon mon envie avait été très jouissif.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Sentir que la vie ne s’arrête pas le dimanche et ne commence pas le 1er janvier ! Qu’elle continue, fluide, mouvementée et sans limites, au-delà des boîtes, catégories et repères divers et d’été.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je lisais Pif, quand j’étais petit. Il y avait Les Tristus et les Rigolus. Ça me faisait bien marrer. Les Rigolus voulaient faire marrer les Tristus et les Tristus voulaient faire pleurer les Rigolus, ils devenaient rouges ou verts, selon l'émotion... et les stratagèmes pour piéger l'autre camp étaient drôles... Et aussi, Rahan, dessiné par Cheret, et son coutelas magique qui tourne et montre son chemin, et Docteur Justice, qui, en prime, était 6ème dan de judo (il pouvait donc tordre un cou et le soigner ensuite !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mon bonheur, c'est de me dire le matin au réveil qu'il faut que je me lève et de me dire aprés qu'on est samedi et que je ne travaille pas le samedi, donc je peux rester au lit !!!

Thierry , 45 ans, Thiais (France)

Ce qui me rend heureux, ce sont mes enfants, et la force de les avoir élevés avec mon épouse...

Thierry , 45 ans, Annecy (France)

Voir que la vie prend les formes les plus insolites pour nous ramener à nous-même, et nous rappeler que nous sommes vivants.

Thierry , 60 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être content qu’on soit vendredi, pas spécialement parce que demain on sera le week-end.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de savoir que je suis aimé par Dieu en toutes circonstances.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de connaître plein de personnes sur le net et de perpétuellement se faire de nouveaux amis que j'aime rencontrer réellement.

Thierry , 30 ans, Sambreville (Belgique)

J’apprécie vraiment le jeu de basse de Victor Wooten, il a une telle décontraction, virtuosité, créativité et humour quand il joue, que c’est un bonheur !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir eu des périodes où j’ai beaucoup joué aux Dames, quand j’étais ado… A un moment, même quand je communiquais ou je jouais au tennis, j’avais l’impression que c’étaient les mêmes règles ! Avancer un pion, avancer au filet, avancer un point de vue, ou un échange, revenir, intégrer deux points de vue, faire des points gagnants, et avancer, tranquillement, mais sûrement, vers le fond du damier et à la volée !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Certains cadeaux décalés que j'ai fait à ma famille, à ma mère, ma soeur, Michel, rien que d'y penser, ça me fait sourire !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est que ça m'a rendu encore plus cool !

Thierry , 42 ans, Paris (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est d'avoir participé à une réunion politique où nous avons construit ensemble un peu plus de démarches.

Thierry , 74 ans, Chatenay-Malabry (France)

La première version du site internet sur le Happython est sorti le 12 septembre 2001. C’était une date qu’on avait choisie une ou deux semaines auparavant. Effectivement, le 12 septembre, c’était le lendemain du 11, et propager un Virus du Bonheur sur Internet ce jour-là pouvait sembler décalé. Nous avons mis ce texte en intro, qui était déjà publié en posters pour des expos précédentes : « Je dédie tout le travail effectué et à faire, à tous ceux qu’on a aimés, qui sont passés de l’autre côté, et à tous les moments heureux qu’il nous reste à créer, avant de les retrouver... ou pas ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de délirer avec mes potes !

Thierry , 21 ans, Bordeaux (France)

Sourire en me rendant compte que je n’ai vécu que des moments uniques avec de nombreuses personnes, que je n’avais jamais vécus avant, et que je ne vivrai plus jamais, mais que de nombreux autres moments uniques sont à vivre, avec ces mêmes personnes, ou d’autres, que je ne peux même pas m’imaginer encore.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les concerts de musique que j'ai faits m'ont vraiment plu. Le feeling avec les amis, les échanges, les répétitions, les créations,... J'aimais créer des patterns de basse funk ou jazzy et des structures rigolotes que je présentais au groupe, l'envie partagée qui se dégageait de ça et les réalisations étaient vraiment kiffantes !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

A l’époque où ma sœur devait vivre enfin à la maison (car elle était prématurée), en 1973, il y avait une page des 4 fantastiques, de Stan Lee et Jack Kirby, qui paraissait dans France-Soir. Je m’empressais d’aller chercher le journal pour mon père, et je découpais ensuite la page. C’était un épisode qui n’était jamais paru et n’avait jamais été traduit en français. J’avais collé toutes ces pages ensemble pour faire ma BD inédite. Je crois l’avoir encore, quelque part, sur un papier tout jauni, que j’avais colorié en partie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ecouter la version In your eyes de Peter Gabriel, version 2011 new blood.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Là, je me sens tranquillement à ma place, dans un élan qui est plutôt cool et stable. La constance, échanger et réaliser me rend heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

D’avoir échangé avec José ce matin, pote du CM1, en Espagne maintenant, pote de musique et d’explorations créatives. Voir qu’il a l’air de s’épanouir dans ce qu’il fait.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j'ai eu 16 ans, j'étais allé dans un camp d'ados et c'était génial ! Une semaine de randonnée, une semaine en kayak et une semanie en vélo ! C'était la première fois que je vivais hors de ma cité et que je vivais la nature avec intensité, amitié et passion. J'ai encore les ambiances en mémoire... Bob Marley, Eddie Cochran,...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir la progression journalière des témoignages sur le Happython, les points communs, les différences, les insolites, les sourires, et étonnements que cela me donne.

thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'aime l'agitation de l'écume sur l'océan de la vie, j'aime le bruit des vagues au large du silence, sous les sombres nuages, et les courants qui inspirent l'apaisement, vers les rives sans âge, rivage.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être touché par la vie des gens.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ressentir, respirer, sourire dehors, en dedans, laisser venir les mémoires, mieux comprendre, pardonner en ayant compris, lâcher-prise et suivre son élan.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est une bonne partie de rigolade !

Thierry , 20 ans, Bordeaux (France)

Ce qui me rend heureux, la vie.

Thierry , 34 ans, Saint-Denis (France)

Le bonheur de faire silence quelques instants, car le silence est un prélude aux rires des enfants, ainsi que le spectre dans lequel se cachent toutes les musiques de quels pays que se soit.

Thierry , 40 ans, Luxembourg (Luxembourg)

Ce qui me rend heureux, c'est d'être à l'écoute.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première chanson que j’avais écrite, et tenté d’interpréter : Pin Up Penelop’, et enregistrée en studio. J’étais très content.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être présent à chacune des tâches d'un projet qui me tient à coeur me rend heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La chanteuse de Porque te vas, Jeanette, adolescent, j’étais sous le charme, je ne l’avais dit à personne, mais je le disais au piano, en jouant la mélodie en boucles.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, en proposant ce projet, c'est de voir que ça prend et que le virus se répand.

Thierry , 38 ans, Paris (France)

Alors que nous terminions la grande expo de Lille 2004, il fallait passer au démontage de l’installation, c’est-à-dire plus de 120 séchoirs à linge, témoignages, des posters, des bouts de tout et de n’importe quoi, pour laisser la salle la plus clean possible. Tout se déroulait comme un charme, les consignes étaient clairement comprises et les savoir-faire facilement transmis. Tout le monde s’affairait comme des fourmis, efficacement, et dans un temps record. Voyant cette performance, un ami entrepreneur, habitué à travailler dans de grands chantiers avec de nombreuses personnes sous ses ordres, était étonné de voir la vitesse avec laquelle ces dizaines de personnes intégraient les instructions. Il n’avait jamais vu ça auprès de professionnels et était réellement surpris d’observer ça chez des amateurs. Alors qu’il m’en parlait, j’en prenais conscience et je souriais en moi-même. J’avais toujours eu conscience que les visions partagées permettaient des interactions intuitives. Décider de porter son attention sur ses moments heureux, partager ça et mettre en valeur cette aptitude semblait trouver une adhésion cohérente dans le collectif.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de lire un livre sympa qu'on m'a recommandé !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Hier, alors que je validais des témoignages heureux sur le Happython, je voyais arriver en direct et alternativement, des témoignages heureux de mes « deux amis de 25 ans » (de la période Tremblay, non pas en France, mais plutôt Gonesse), un de Bordeaux, un de Bangkok, un autre de Bordeaux, un autre de Bangkok, etc. L’espace et le temps sont relatifs.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La nature, puissante, toujours là, l’air, l’eau, les forces de vie, et l’insolite beauté du monde.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de prendre conscience de mon rythme et d'aller vers un autre, qui me convient encore mieux !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Tenir davantage compte de choses qui ne me convenaient pas, qui étaient toujours là, et sur lesquelles je me disais « Bon, c’est pas important ! » ou « Oh, non, pas encore ça, vite mettons-le de côté ! ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Je
témoigne