Ce qui les rend heureux... | Happython

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Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

Je suis heureux chaque fois que j'établis avec une personne une relation sincère et partagée d'amitié, de fraternité ou d'amour.

Thierry , 54 ans, Taluyers (France)

La première version du site internet sur le Happython est sorti le 12 septembre 2001. C’était une date qu’on avait choisie une ou deux semaines auparavant. Effectivement, le 12 septembre, c’était le lendemain du 11, et propager un Virus du Bonheur sur Internet ce jour-là pouvait sembler décalé. Nous avons mis ce texte en intro, qui était déjà publié en posters pour des expos précédentes : « Je dédie tout le travail effectué et à faire, à tous ceux qu’on a aimés, qui sont passés de l’autre côté, et à tous les moments heureux qu’il nous reste à créer, avant de les retrouver... ou pas ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être insouciant. Avoir confiance que mon cœur bat sans que j’y fasse attention, que mes poumons respirent sans que je me rappelle de le faire, que la vie est là, même quand ma tête l’oublie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir le choix et me surprendre à me dire : « Tiens, qu’est-ce que je pourrais ressentir et penser, là ? »… Jusqu’à ce que je me rende compte que… j’ai déjà fait le choix de me poser cette question (ce qui est un bon début !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Après que j’aie obtenu sa réponse à la question heureuse du Happython, ma dentiste est devenue à son tour Agent du Bonheur. Elle laissait des formulaires Happython dans sa salle d’attente. Parfois, les patients répondaient et elle me donnait ensuite les notes que je mettais sur le site. Elle me raconta plus tard cette histoire, où une femme avait répondu quelque chose de spontané sur le moment, sans vraiment réfléchir. Et en la rencontrant deux ans plus tard dans un autre contexte, elle lui avoua que c’était grâce au fait qu’elle s’était posée la question (qui avait bien tourné dans sa tête) qu’elle décida de se marier. Effet kiss cool (enfin, j’espère !) !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux : c'est le sentiment d'avoir fait une bonne action (par exemple, quand je faisais Paris-Dakar, arriver dans les villages et donner ce qui était dans le camion). Voir ma femme heureuse avec moi ou plus simplement rendre service à quelqu'un.

Thierry , 47 ans, Argenteuil (France)

La nature, puissante, toujours là, l’air, l’eau, les forces de vie, et l’insolite beauté du monde.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j'étais pré-adolescent, je vivais en HLM. Un jour, j'étais dans ma chambre avec un ami à écouter de la musique, un ouvrier se mit à attaquer mon premier étage au marteau- piqueur, au niveau de ma fenêtre, au point qu’on n’entendait plus la musique. Il s’arrêtait, on en profitait pour reparler, et il réattaquait et ainsi de suite. A un moment, j’ai eu l’idée d’enregistrer le bruit de son labeur et quand il s’arrêtait, derrière nos rideaux, on mettait le son à fond de notre côté, avec les baffles orientées vers la fenêtre. C’était crétin, mais on s’est bien marré à imaginer sa tête, et oui, ça nous a rendus heureux à ce moment-là !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c’est quand j’accueille les événements de la vie que j'imagine décalés, que je réactualise ma relation au monde, sans y réagir, mais en apprenant à danser différemment pour ne pas me prendre les pieds dans le tapis.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu très heureux, ça a été mon premier baiser, avec Yannick, dans un local de tennis... J'étais pré-ado, elle avait 3 ans de plus que moi et j'avais eu un vertige profond... J'étais stupéfait qu'on pouvait ressentir et partager une telle sensation. Un nouveau monde s'ouvrait à moi !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’ai vraiment aimé me promener dans tous les marchés d’Aulnay-sous-Bois, Tremblay-en-France, (avant, c’était Tremblay-les-Gonesse) notamment avec ma tante, Mihran et Chek, mes amis, mais aussi seul, à pied, en courant, en vélo, pour aller trouver des bandes-dessinées, les Strange, Marvel, Eclipso, Etranges Aventures, l’Inattendu,… Et aussi les Bob Morane, les Doc Savage...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir le design de la nouvelle Palette de Vie du formulaire du Happython... Voir progresser le Happython au niveau technique et design est un bonheur ! Holly gratitude à Ben !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Faire confiance en la vie, faire équipe avec elle, intime… in-team…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les tournois de tennis dans le carré de service.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir enfin des photos de mes amis prises il y a 4 mois !

Thierry , 21 ans, Bordeaux (France)

Prendre le temps.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de créer le futur que j'imagine, de le partager et de m'apercevoir jour après jour que la légèreté et la persévérance sont des attitudes étonnantes pour se laisser toucher... Par l'art et la délicatesse que déploit la vie pour nous éveiller à nous-même... Sans oublier personne.

Thierry , 40 ans, Noisy-Le-Grand (France)

Trouver des choses sans les chercher.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'ai adoré aller à la Bourboule quand j'étais môme. J'y allais avec mes parents, je suivais une cure pour les bronches le matin mais ensuite, je lisais des livres, des bande-dessinées, on se baladait, notamment à la Roche aux Fées, je pensais vraiment qu'il pouvait y en avoir, des fées. Ce n'est que bien plus tard que j'ai vu qu'ils avaient volé ce nom pour le mettre sur des yaourts !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de faire passer ce que j'aime et de me rappeler, via le regard de l'autre, qu'en fait, j'aime ça plus que je n'imagine.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand ()

L’appel d’un(e) ami(e) que j’attendais, ou que je n’attendais pas.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux aujourd'hui, c'est que rien ne s'est passé comme je l'escomptais, mais finalement, ça finit bien autour d'une paëlla !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir vu un ami que je n'avais pas vu depuis 10 ans ! Actuellement, c'est la série !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir une plante grimpante chez moi, mais qui se répand en tombant par terre dans le salon, comme une jungle civilisée.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Il y a quelques années, j’ai découvert par hasard sur des vidéos internet, un jeune gars avec un pull rouge qui dansait d’une façon totalement originale. C'était vraiment bluffant ! J’ai cherché son nom et en faisant une nouvelle recherche, je l’ai vu quelques années plus tard dans de nombreux spots de pub, j’étais vraiment émerveillé ! Ce danseur a inspiré tout un mouvement, une façon « liquide » de danser, il devait travailler sur le dernier spectacle de Michael Jackson et a travaillé dans un film de Tim Burton. C’était super de voir ça ! Il s’appelle David Elsewhere, à découvrir, au cas où…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand je faisais la collection des Strange, Marvel, Fantask, je connaissais les dessinateurs, les encreurs, par coeur, je les copiais toute la journée, je faisais des listes régulières pour n'en oublier aucun. Récemment, en y repensant j'en ai fait une, je n'en ai retrouvé que 55 (et il m'a fallut quelques temps !). Je la laisse dans un coin, s'il m'en revient, je les rajouterai... Les voici pour l'occasion, Big Up : Neal adams, jack Kirby, John Buscema, Sal Buscema, Bill Everett, Gene colan, George Tuska, Steve ditko, Gil kane, Joe Sinnot, Ernie Chua, Rich buckler, Frank Giacoia, Don heck, Jim starlin, Jim steranko, Jim mooney, John romita, John Byrne, John Romita Jr, Val mayerik, Barry smith, Syd shores, Mike ploog, Frank miller, Billy graham, Howard chaykin, Carmine infantino, Dick ayers, Tom palmer, Dick giordano, Werner roth, Frank robbins, Franck springer, Al milgrom, Herb trimp, Marie severin, Bruce berry, Dan green, John severin, Wally wood, Larry lieber, Mike Esposito, Ross Andru, Dick Giordano, Jack sparling, Sam rosen, Mike esposito, Ross Andru, Lee elias, Dan adkins, Dave cockrum, Bob Mac Leod, Chic stone, Bill sienkiewicz... A suivre...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de lire un livre sympa qu'on m'a recommandé !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir que la magie de la coupe est encore présente en football.

Thierry , 56 ans, Paris (France)

J'ai aimé aller à Tunis, à l'époque où mes grands-parents étaient en vie. Je me rappelle du chameau qui tournait dans le café, les palmiers, les odeurs, le jasmin, les glaçons géants (ils n'avaient pas de frigo), les marchés... la plage... !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux quand j'entre dans une boutique de lingerie et que je choisis l'ensemble qui va à coup sûr plaire à mes copines.

Thierry , 25 ans, Saint-Gratien (France)

Savoir faire du vélo et en avoir un à moi m'a bien rendu heureux (un mini-vélo Nicoletta bleu !)

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'être à l'écoute.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir fait tout ce que j'avais à faire avant de faire ce qu'il me reste à faire. J'aime bien respirer entre chaque action et voir le présent entre le passé et le futur, ça me détend et le monde se remet à briller !

Thierry , 39 ans, Noisy-Le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, d'avoir été marié, d'avoir des enfants.

Thierry , 38 ans, Mons-en-Baroeul (France)

Alors que j'ai créé le Happython en 1998, ce sont les premières fois où j'explore réellement ce que ça fait que de pratiquer "les réponses heureuses" régulièrement (et au niveau personnel). Me détacher de l'aspect créatif pour me retrouver "effet" de cet heureux système me fait bien plaisir.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être allé en Egypte, en 1992, avoir fait un périple avec des adolescents pendant 3 semaines, d’abord en touristes, sur un trajet planifié, puis free-style. Avoir nagé en mer Rouge et avoir vu des fonds matins, incroyables, lumineux et profonds. En me laissant flotter et en ouvrant les yeux, je découvrais le fond, immense et lointain, vue d’un gratte-ciel. J'avais presque le vertige de voir ces abysses du ciel de la surface, comme un humain transitant entre deux mondes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La mère d'un ami, qui à plus de 90 ans, toujours tonique, a dit à sa famille : "Oh ce soir, je suis vraiment fatiguée, je vais me coucher tôt !" Et elle est partie comme ça, pendant son sommeil. La famille a bien sûr regretté son départ, mais en a gardé une sensation sereine.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir eu des périodes où j’ai beaucoup joué aux Dames, quand j’étais ado… A un moment, même quand je communiquais ou je jouais au tennis, j’avais l’impression que c’étaient les mêmes règles ! Avancer un pion, avancer au filet, avancer un point de vue, ou un échange, revenir, intégrer deux points de vue, faire des points gagnants, et avancer, tranquillement, mais sûrement, vers le fond du damier et à la volée !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première courgette de l’année à jaillir triomphalement du jardin, à travers toutes ces gigantesques feuilles ! Quelle nature vivante !

Thierry , 61 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir reçu un message qui est la preuve d'un pardon accordé par un ami... peut-être retrouvé...

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

Parfois, aider un escargot à traverser son chemin, le téléporter d'un endroit à un autre. Même si c'est un guerrier puissant qui peut passer entre les roues d'une voiture, autant lui donner un coup de main...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Tout ce qui ne m’est pas arrivé depuis que je suis né, ce à quoi j’ai échappé sans le savoir, et qui aurait pu me rendre profondément malheureux, et que je ne saurai jamais. Ouf ! La vie est bien faite !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Hier, un bon ami, Marco, m’a téléphoné. On va bientôt se voir car il passe à Paris. Ça fait un bout de temps ! Ce sera très sympa d’échanger sur nos parcours et repères.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Trouver ce que j’aime, aimer ce que je trouve et accueillir un peu mieux les surprises.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de retrouver la mémoire et ce retour me rend plus présent.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'avais animé un stage en Allemagne et le soir, j'ai été surpris de voir que j'avais un arbre dans ma chambre, et dehors il y avait une source vive et bruyante, en pleine montagne.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le premier exposé que j’avais présenté, avec Mihran, en CM2. On avait choisi le thème des religions, on avait collé plein de feuilles, fait des dessins, avec les symboles des grandes religions. J’étais content, ça faisait sérieux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Chaque matin, chaque soir, je fais du sport, depuis 1 an et demi. En bougeant mon corps dehors, quel que soit le temps, j'ai l'impression de sortir le chien qui veut japper... C'est rigolo ! Si je peux apprécier ça maintenant, alors qu'avant j'aurais eu des apprioris, c'est bien qu'avec un peu de pratique qui nous convient, tout devient plaisant !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est d'avoir participé à une réunion politique où nous avons construit ensemble un peu plus de démarches.

Thierry , 74 ans, Chatenay-Malabry (France)

Ce qui est vraiment cool, c’est de lire tous ces témoignages heureux ! De sentir leur potentialité, le vécu derrière, ce qui est ressenti, intime et à la fois universel.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux quand je fais ce pourquoi je suis fait. Notre fin à tous étant le Paradis, on est véritablement heureux quand on en prend le chemin, celui de la Sainteté.

Thierry , 21 ans, Versailles (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de savoir que les épreuves se terminent toujours et nous permettent de grandir.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

J’avais joué contre mon prof de tennis en final d’un tournoi quand j’étais cadet, et j’ai gagné. Et j’ai joué avec lui en finale en double et on a perdu. J’aimais bien ces ambiances de compétition internes, ça donnait l’impression que tout cela était très sérieux !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Cette vision d’un monde où le bonheur peut se propager, naturellement, en jouant, en le décidant, ou en écoutant le flux de la vie… me fait sourire intérieurement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir habité les villes que j'ai habitées, de mon enfance à aujourd'hui...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand ma pensée vagabonde, que mes états d'esprit se dispersent dans des mondes alternatifs, me rappeler et observer simplement que je respire, me ramène à une sérénité, une présence tranquille qui me rend paisible et délicatement heureux. Me sentir vivant, mieux discerner les images et les discours, internes et externes, si fascinants mais souvent inutiles, me rend heureux et développe progressivement un sourire intérieur qui se propage parfois dehors.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est les filles qui font entre 95 C et 110 E de poitrine !

Thierry , 25 ans, Saint-Gratien (France)

Faire les expositions sur le Happython m’ont donné de grandes joies : Lille, Jeumont, Paris, Lyon, Lausanne (avec le fameux « Saule heureux, qui a fini de pleurer... »). J’ai toujours apprécié la façon dont les personnes aidaient pour que le projet puisse se réaliser dans les meilleures conditions, cette chaleur qui était présente et diffuse… Ce sentiment de possible…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mon bonheur, c'est de me dire le matin au réveil qu'il faut que je me lève et de me dire aprés qu'on est samedi et que je ne travaille pas le samedi, donc je peux rester au lit !!!

Thierry , 45 ans, Thiais (France)

Quand j’avais à peu près 20 ans, alors que je n’avais fait qu’une semaine de ski en tout et pour tout, des amis m’ont proposé de descendre les fameuses « 3 vallées » à Courchevel. Je n’avais aucune notion de ce que ça signifiait. Quand je suis arrivé en haut et que j’ai vu des ravins énormes et des pentes abruptes, j’ai vraiment flippé. J’ai dépassé ce flippe, grâce au moniteur qui a compris que j’étais pas une flèche, et ensuite, oubliant ma peur glacée, je me suis amusé à descendre tous ces kilomètres de science-fiction avec euphorie et gaieté suprême, sous le soleil.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, d'avoir été à Rome et en Bretagne.

Thierry , 38 ans, Mons-en-Baroeul (France)

Ce qui m’a rendu heureux, c’est un coup de cœur.

Thierry , 41 ans, Pecq (France)

Être où je suis, juste là, à faire ce que je fais...

Thierry , 45 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de me rappeler que je peux m'associer aux choses que j'aime, que je peux me dissocier des choses que j'ai assez explorées et que j'ai le luxe d'oublier tout ça pour faire comme si de rien n'était.

Thierry , 41 ans, Noisy-le-Grand (France)

L'amour de mes proches.

Thierry , 46 ans, Paris (France)

Avoir oublié mon égoisme et enfin partager et donner aux personnes qui le méritent me rend heureux.

Thierry , 50 ans, Paris (France)

Manger une multi-compotes de ma composition et découvrir un film.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est la dernière rencontre avec ma fille, le 1er novembre 2008, à Bordeaux.

Thierry , 59 ans, Thorigny (France)

Quand je trouve une fille qui me fait rire, ça me rend heureux, tout simplement

Thierry , 29 ans, Talence (France)

L'enduro ne rend heureux !

Thierry , 35 ans, Paris (France)

A la première expo du Happython in situ, à la Poste de Pantin-les-Limites (véridique : joli nom !), entre Bobigny et Pantin, en octobre 1998, l’effet que donnaient les témoignages épinglés sur des fils à linge au dessus des guichets, et les posters, étaient vraiment drôles. Les clients avaient les yeux en l’air, étaient étonnés ou souriaient et semblaient plus paisibles. Les emploi-jeunes, à l’époque, avaient été supervisés pour, quand ils en avaient la possibilité, poser l’heureuse question, à celles et ceux qui faisaient la queue. A la fin de l’expérience qui a duré 15 jours, le responsable nous a dit qu’il avait perçu moins d’agressivité pendant cette période et nous a remerciés. Premier effet collectif du Happython !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L’éclairage du printemps, la vibration de l’air !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

A l’époque où ma sœur devait vivre enfin à la maison (car elle était prématurée), en 1973, il y avait une page des 4 fantastiques, de Stan Lee et Jack Kirby, qui paraissait dans France-Soir. Je m’empressais d’aller chercher le journal pour mon père, et je découpais ensuite la page. C’était un épisode qui n’était jamais paru et n’avait jamais été traduit en français. J’avais collé toutes ces pages ensemble pour faire ma BD inédite. Je crois l’avoir encore, quelque part, sur un papier tout jauni, que j’avais colorié en partie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Suivre un « régime Happython » sur une période donnée, et partager ça avec d’autres, me fait marrer et m’intéresse grandement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je devais avoir moins de 5 ans, j'étais chez mes grands-parents, malade, et je m'ennuyais profondément. Je voulais sortir dans le petit jardin car il neigeait mais ma grand-mère ne le voulait pas, certainement pour que ma température ne monte pas davantage. Je faisais la tête. Ma grand-mère s'occupait de la maison, elle rangeait, nettoyait. A un moment, elle sort, me laisse seul un certain temps et revient, une bassine à la main, qu'elle dépose devant moi. Je vois alors une bassine remplie de neige. Elle avait mis de la neige dans sa bassine pour que je puisse m'amuser quand même et elle retourna à ses affaires, sans rien dire. A ce moment, je me suis dit : "C'est drôle qu'un adulte pense à ça, puisse se mettre à ma place et savoir que j'en avais envie, je suis certain que je me rappelerai de ça plus tard, quand je serai grand !". J'étais à la fois dans la joie de l'enfant et dans un dédoublement futur, me racontant déjà mon passé.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir de bonnes nouvelles et manger des fruits.

Thierry , 52 ans, Noisy-le-Grand (France)

Alors que j'étais malade, mes grands-parents, pour me faire plaisir, m'avaient acheté les chaussures que je préférais : des chaussures de foot ! J'allais fièrement partout avec elles ! Dans la rue, à l'école... Je ne savais pas que les crampons servaient spécifiquement pour accrocher le terrain et sûrement eux non plus, mais ils m'aimaient suffisamment pour considérer, comme moi, que ce n'était pas si important, tant que ça me rendait heureux !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Me sentir en paix...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Hier, alors que je validais des témoignages heureux sur le Happython, je voyais arriver en direct et alternativement, des témoignages heureux de mes « deux amis de 25 ans » (de la période Tremblay, non pas en France, mais plutôt Gonesse), un de Bordeaux, un de Bangkok, un autre de Bordeaux, un autre de Bangkok, etc. L’espace et le temps sont relatifs.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les fou-rires que j’ai eus dans ma vie. Un mémorable avec Check, à propos d'un prof de musique du collège.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Une série que je regarde actuellement : Eastbounddown, sur l’histoire d’un beauf ancienne star du base-ball. Des os pilants !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Accomplir ce que j'aime me rend heureux. Le partager me rend très heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Focaliser mon attention sur ce que je préfère, en acceptant de m’arrêter sur ce qui arrive que je n’avais pas prévu.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Je
témoigne